L’énigme-Gauguin de Claude Olivier-Dubuc

 C’est l’histoire d’une rencontre asymétrique. Une histoire qui normalement n’aurait jamais dû arriver. L’histoire fortuite d’une connexion des astres, des étoiles, du mystique, du mystère et des Hommes. Mais voilà, c’est tout ce qu’il y a de plus vrai. La véritable épopée d’un géant. Un rendez-vous manqué depuis plus d’un siècle. Un secret vieux de 100 ans et quelques poussières oubliées depuis toujours. On a pourtant tenté d’élucider quantités d’énigmes entourant le maître. Mais en fait, peu ont réussi à sortir réellement du passé. Qui aurait pu prédire, qui aurait pu savoir que l’histoire pouvait encore s’écrire? C’est une suite de hasards sans doute. D’abord, un moment précis dans l’espace temps où la synchronicité marque un pas, un virage. Et ensuite, c’est sûrement une nouvelle fenêtre sur la compréhension du complexe génie artistique. Pourtant, même si à première vue aujourd’hui, cela apparaît sans aucune urgente nécessité. De nouveaux faits plus qu’évidents attisent des révélations troublantes à plus d’un égard, et ne font qu’empirer le mythe de Paul Gauguin.

   Cette rencontre Gauguin, puisque c’est bien de cela dont nous parlons, est arrivé soudainement d’une bien drôle de manière. Comme si l’heure était venue de sortir de la cache secrète. Comme de par le jeu de l’ombre et de la lumière, la rencontre est venue comme je vous l’explique, non de la grande noirceur mais plutôt d’une douce obscurité. Alors laissez moi plutôt, si vous vous voulez-bien vous racontez… Nous sommes à la fin de l’année 2008. L’automne souffle à l’extérieur un froid qui annonce que bien pire viendra à coup sûr. Mais pour l’instant c’est pas très chaud. Alors il y régnait au salon ce soir là, une ambiance velouté. Un feu réchauffait au coin de la cheminée. Une lueur, tout juste assez faible englobait les formes, les teintes et les couleurs pour en faire un délicieux havre de Paix de la fin du jour. Et cette lueur que les flammes faisaient danser doucement, était tout juste assez forte pour laisser transparaître les ombres. Tout était paisible et serein, seul le crépitement feutré du feu de bois craquant dans l’âtre berçait l’atmosphère délicieuse. C’est alors que le douillet confort fut secoué, du plus inattendu, une surprise totale: le forban est en face de moi. Il est là et me regarde l’air bien pensif. Avec la tenue majestueuse des grands soirs. Une grâce que seuls les génies possèdent. Il est là, avec la véritable magnificence d’un héros, dont la touche splendide de sa main vient d’inscrire à tout jamais dans l’infini une nouvelle signature distinctive. La stature du grand seigneur Gauguin vient de sortir de l’au-delà devant moi, et j’en perds tout simplement mes mots. Altier, fier et d’une tête qui domine tout autour. Son front balayé d’une lumière qui soudainement baigne le prolongement de mes yeux. Il est là devant moi et il est tout simplement merveilleux.
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L'ombre du Forban se dessine
dans la pénombre offrant des détails
que seul l'obscurité peut envelopper et faire ressortir. Voici le vrai visage de ma découverte. Le premier autoportrait-secret.
Fermez à demi vos yeux pour voiler une partie de votre vision
(il faut perdre les détails précis sur la toile). Un monde s'ouvrira à vous!